Droit du vivant

Toutes les substances vivantes acquièrent le même droit.
C’est à dire le droit de prétendre à continuer sa vie tel que le lui confère son ADN.
Toute tentative d’altérer ses propriétés sans consentement sera perçue comme une atteinte à l’intégrité de son existence et donc comme un délit et un crime.
Si le consentement ne peut-être déterminé ou interprété, alors il n’est pas autorisé d’effectuer d’altération.
Les rapports de force inhérent aux confrontations de capacités fournit par l’intermédiaire de l’ADN ne sauraient être empêcher ni remis en question.
Quand bien même le consentement serait acquis, il sera utile de respecter au minimum la nature d’un ensemble de fonctions de base illustrant la reproduction, ce qui par voie de conséquence aura pour effet de préserver le mécanisme produisant de la différence. (Les plus faibles seront mangés les premiers, mais les plus faibles se reproduisent-ils ? A l’évidence oui, sinon la sélection naturelle les aurait fait disparaître)

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La «sphère» du vivant peut paraître dure, violente, brute et très réductrice.

Mais c’est pourtant le terrain de jeu qui à permis l’apparition de la diversité que l’on connaît. Nous la mettons en péril par notre écrasante activité, revendiquant : la cohérence, l’ordre, l’optimisation et finalement…

beaucoup de bêtises.

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