Désolé fallait que je t’en parle

Le monde va vite, très vite, …
Les activités humaines particulièrement…

Certains diront que la nature dans son ensemble va plus vie encore… il suffit de descendre dans des échelles plus petites genre chimie, molécule, particules…

Les activités humaines semblent vouloir rattraper un retard… Lequel ? Je ne sais pas.
Peut-être sommes-nous aller trop loin dans l’imaginaire, nous sommes sur une dette de réalisation de nos rêves collectifs… Ou individuels. Nous cherchons à atteindre des objectifs qui ne sont pas à notre portée… Du moins pas dans les délais impartis. Alors nous poussons le travail commencé comme une évidence sans qu’il soit possible de le remettre en question, ni de le reprendre pour faire mieux.
Nous n’avons plus qu’une idée : vite terminer pour démarrer autre chose plus forts et y apporter les améliorations d’usages : parce que c’est notre projet…

La fin du processus est toujours la livraison…

Mais comment être fière du travail fourni et par la même occasion, le valoriser si vous êtes constamment sur des sujets qui ne se ressemblent pratiquement jamais.
Vous pourrez identifier que ce n’est jamais complètement le cas … j’espère que vous en faites profiter ceux qui vous entoure, mais il n’en reste pas moins que vous ne faites que découpez le monde en plus petits morceaux afin qu’il soit plus facilement consommable…
Peut-on convenir que … identifier, c’est séparer du reste, non ?
C’est une aptitude que chaque humains met à profit lorsqu’il expérimente quelque chose à un instant donné. Sa mémoire lui permet de renouveler l’expérience à de multiples reprises, sous forme de pensées consciente ou bien fugace ou encore en rêve, histoire d’y déterminer son goût … parfois certaines expériences lui font percevoir un rejet.
«Ce n’est pas une direction dans laquelle je devrais aller»

… si vous lisez encore ces lignes c’est que vous n’êtes pas encore tout à fait dégoûté. Continuons…

Le travail réalisé est sur le même principe excepté qu’il est l’expression des acquis, c’est une projection aussi bien des expérimentations propre à l’activité à prendre en charge, mais aussi très probablement alimentée par des traces plus profondément enfouies dans les méandres d’expériences variées sur lesquels la confusion est plus ou moins forte.

L’identification de nos sources d’aptitudes intellectuelles, gestuelles, sensorielles, sensitives et du rapport au monde qui nous entoure et le mélange subtile qui s’opère… ce qu’il advient de nous-même et de l’endroit que nous quittons une fois notre tâche effectuée…

C’était l’instant image…

Le travail que nous fournissons à chaque nouvelle «livraison» est une expérience supplémentaire à mettre à notre actif, c’est le principe du CV. C’est comme un dividende reversé en fin de cycle. Je suis donc un actif qu’il s’agit de mettre en valeur au même titre qu’une valeur boursière, j’ai juste moins de poids et je ne survivrait pas plus de 80 ans … en moyenne.

Ce que tu produis dans une vie est le résultat de tes choix, des tes efforts et … de tes prises de risques… ?!
D’un autre côté si tu sais que tu as un filet de sécurité, ou est la prise de risque, il suffit que d’autres crois que tu y vas sans filet !

Il est toujours possible de déstabiliser quelqu’un, parfois même sans le vouloir…

Si je sais que je peux aller dans une direction parce que j’en ai déjà le goût… si j’y retourne … je suis un drogué…
Si je vais où le vent me pousse sans vraiment me demander si cela me convient… je suis un mouton… si je vais où je peux enfin encore découvrir des sujets et me nourrir de nouvelles expériences… je suis un drogué aussi doublé d’un fou … je ne créé pas forcément quelque chose qui reste exprimable, exportable, utile…
Et si je ne fait rien pour ne pas me planter … je suis un looser
(Sources : caricature de gens qui me donnait des conseils)

On dit parfois que la sagesse se trouve
au milieu.

Le problème c’est que le milieu d’un segment c’est simple, encore que,
Mais là il se trouve que c’est un carré, et je suis sûr que certains auront le bon goût d’ajouter des axes issues de leurs propres expériences qui viendront compliquer la figure.

Alors…
Tant pis
Sortons l’outil de mesure … prenons le temps

Le temps… d’observer… de regarder sous plusieurs angles différents, mettons-nous à une place inhabituelle, que nous ne pourrions absolument pas désirée, puis à une place de choix. Revenons à notre place…
Le chemin parcourus est-il conforme à l’attendu, est-il souhaitable de continuer dans ce sens, est-ce partagé, peut-être, par ceux qui quotidiennement fournissent des efforts et avec qui on construit, on produit…
Echangeons, faisons exister nos points de vues.

Ha ce temps qui coure et qu’on ne rattrape jamais, la seule vrai monnaie dont on dispose pour soi si vraiment on y fait attention, et oui ces confinements et autres mesurettes de pacotille qui s’avèreront bientôt n’avoir servi qu’à tenter de maîtriser des drames individuels auront abîmés le monde occidental, … un certain monde occidental…
Mais cela aura aussi permis de prendre le temps… Le temps du recul …
On a aussi eu l’air de la ville qui à été appréciable pendant quelques semaines, les oiseaux, les furets, renards et peut-être aussi les rats ont pût ouvrir leurs horizons pendant un temps et faire un détour pour voir ce qui était arrivé au vacarme incessant habituel. Une faune inhabituelle venant vérifier si les humains avait enfin compris un truc.
Ces humains qui ont pût avoir un peu de répit…
Ha oui, pas tous, évidemment il aurait fallut que plus de personnes soit capable de soigner, soulager les malades.
Mais en vérité, ça n’a pas duré très longtemps … La mega-machine devait repartir.
Pourtant ce temps ne sera pas rendu … à personne… mais on commence à nous dire que nous allons devoir payer un prix considérable, sous prétexte que les modèles économiques en vigueurs n’étaient pas prêt à anticiper un arrêt…

Faisons comme si tout cela avait été une étape normal…
Une fin de cycle qui amène le suivant, et qui pratique une respiration,
Arrêtons-nous à nouveau d’ailleurs et à intervalles réguliers… notre méga-machine s’emballe … rendez-vous compte elle ne dors jamais, quel organisme vivant peut supporter cette charge et pendant combien de temps… à votre avis ?
Observons, éprouvons, comment se comporte le système confronté au réel, c’est nous qui l’avons construit, après tout, il nous appartient de le tordre de le façonner à notre envie. Il est notre produit, lui aussi est le résultat d’une multitudes de livraisons … elles ont pût être ratées, mal documentées, mal comprises…
Mais surtout est ce que le besoin est couvert par ce produit… ?

Est-ce que nous fabriquons ce monde ? Ou bien est-ce lui qui nous écrase par sa gravité et sa pression atmosphérique… les deux en fait ! MDR

Nous sommes des entités sociales dotés de pouvoir de conception sans équivalent !
Mais il semble que les concepts que nous avons créés nous habitent au point que nous en sommes devenus les marionnettes ?

Si ça se trouve Adam et Eve ont tué Dieu et rejeté la faute sur un serpent qui passait par là
Allons-nous nous laisser dominer et détruire par nos créations ?
Elles n’existent même pas sans nous !
Hey !

Économie ?

La liquefaction des actifs, est à l’oeuvre depuis de nombreuses années.
Et c’est par un support linguistique orienté vers les objectifs et non par le chemin parcourus que cet «état» aborde sa construction.
Le fait de transformer en données tout ce qui nous entoure favorise de rendre liquide le monde.
Comme si cela contribuait à le rendre moind réel. Moins contraignant.
La littérature à pût en son temps peut-être démarrer ce processus mais il y a eu tellement d’apports de structures que finalement nous nous sommes emparé de ce concept, et la vie s’est engouffrée dedans pour la remplir.


L’espace numérique est aujourd’hui tellement vaste … on voudrait avoir peut-être pris le temps d’analyser et comprendre ce que nous pourrions y faire, et ce temps a exister, mais rattrapé par des intérêts tout particuliers, les seules échafaudages qui existent actuellement sont à la solde de quelques puissants qui ont capitalisés un nombre très important d’outils pour investir ce territoire, comme lors de chaque conquête…
On aurait pourtant tout intérêt à coloniser et revendiquer des parcelles sur-immenses… n’ayons pas peur des superlatifs…
pour y implanter les graines des structures qui nous ressemble.
Nous devrions rester maître de nos outils et non qu’ils nous dominent, car sinon nous serions nous-mêmes des actifs capable de nous liquefier a notre tour à l’intérieur d’un territoire qui par la même occasion est de la même nature de constitutifs primaires que nous mêmes… l’esprit

Il y a la matière, son agencement, ses lois.
Mais il serait dommage que nous ne soyons que les témoins qui prendrions possession des informations géométriques de ces espaces sans pouvoir y apposer un fléchage, selon les mesures qui nous semblent les plus adaptées, en somme les politiques les plus favorables à représenter le monde tel qu’il nous semble et dans lequel règne un équilibre.

Car le monde est un équilibre, entre chaque choses, sa vocation est de toujours revenir à l’équilibre. Et les lois qui le régissent semblent même inviolables. Certains mécanismes sont à l’oeuvre pour guetter aux infractions. Par exemple, c’est ainsi que le vide se rempli. Je vous invite à penser de même sur des contextes plus intelligents

L’équilibre est présent mais il n’est pas certain, car sinon il ne se passerait plus rien. L’équilibre ne dur jamais longtemps, voir c’est une idéalisation … et pourtant l’immobilité de certaines partie du monde sont observables et nourrissent bien des concepts … comme l’éternité ou l’infini.
Mais les structures sont constamment remises en question, assez régulièrement du moins pour continuer à refléter ce que le monde nous apprend de lui-même.
Ses mouvements, ses interactions, ses causes et conséquences… voilà ce que nous avons usage d’observer… comme je trouve agréable de nous dire à nouveau que nous sommes l’univers qui se regarde.

Et pourtant nous ne faisons pas que le regarder, nous lui donnons du sens. Les structures que nous proposons ne sont pas une fin, elles sont l’expression de notre compréhension du monde. Aujourd’hui nous sommes face à un plaie béante et purulante qui ne s’arrête pas de suinter. Nous avons mal et nous sommes incapable de résoudre le problème… incapable de cicatriser. Avons nous tout essayé? Sommes nous rendons au point d’être submergés, emportés … Le niveau de définition est-il si important pour que nous soyons à ce point sérieux et honnêtes, entretenant les principes érigés depuis si longtemps … qu’il n’existe aucune alternative? Sommes nous si sûr de détenir la vérité et les axiomes qui l’accompagnerai? Les lois de notre monde sont-elles si vraisemblables qu’elles nous conduisent à dissoudre le monde dans une immense danse de vecteurs, de matrices, de facteurs, de groupes… sans que jamais le libre arbitre y trouve son goût

Bien sûr, que le libre arbitre y a fait son trou, là aussi et c’est ce qui nous coûte probablement aujourd’hui une dette écologique incommensurable. Mais c’est peut-être bien aussi la preuve que nous pouvons également y faire quelque chose

To be continued…

Réflexion

Politique et plus encore

À taille de pays sa juste population.
Il serait incroyable d’imaginer qu’un pays puisses concentré une population trop importante, mais définissons le trop : s’agit-t-il de ,300 000 âmes pour une surface de 300 000km2 par exemple ce qui revient à 1 km2 par personnes…
Est-ce suffisant …?

Dans le cas de la France on est très en dessous
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Superficie_de_la_France


Bref !
On a voyager d’un coup
Il faut lire le lien avant bien-sûr…
La mesure d’une surface donne un.certains pouvoir donc, si les Amériques voyait leur taille réelle à la mesure prise en référence à l’équateur, leurs perspective de grandeur serait sans doute remise en perspective, ainsi que la Russie d’ailleurs.
L’important c’est que la donnée fournit corps à quelque chose, elle lui permet d’exister, que ce fusse un concept ou une réalité tangible, la donnée ne porte pas de sens toute seule, elle est parce que des observateurs existent également, qui sont ces observateurs, on a tendance à répondre, nous, perversions, nous sommes nous mêmes constitué du même univers, c’est comme de dire que la matière, le sujet, qui s’incarne est composé de données aussi. La matrice nous auras tous !
L’univers tangible nous apprends que des choses sont là, parce qu’elles sont persistent et que la mémoire qui a sut dompter le temps… ou le chevaucher pour dire autrement, Insuffle à Nous autres qui sommes des voyageurs dans le temps, une chance.
C’est la chance que nous avons.
Notre espèce est capable de s’adapter à de multiples phénomènes, nous avons au-devant nous un ennemi que nous avons créer. Il ne nous veux pas de mal, il exprime juste une colère contre quelque chose , nous , qui sommes aller trop vite, trop ferme car nous avons des moyens, de grands moyens de pénétrer dans la terre, dans sa chaire, cette même chaire qui nous a fait nous,. les humains.. ..
Nous apprenons tout , tout est une source de savoir.. surtout en cette période, .. , nos outils aujourd’hui n’ont jamais été aussi performant ., . De loin les français ont participés à cet éveille, nous avont été très généreux de part l’histoire, il est vrai que parfois et même très souvent les accords ont été signé dans le sang. .., par le sang,… , pour le sang.
..
Est-ce un signe de domination ou une opportunité de faire enfin quelque chose de bien.
..
On a appris l’histoire de ceux qui ont vaincus, .. de manière générale. Les propagandes sont bien souvent issues des réminiscences d’anciens régimes qui ont survécu au gré du vent.


Je le souhaite du moins car La tradition, la culture, que nous partageons de plus en plus,.. homogène, tout autour du monde, moins enraciné, peut-être, la pression est trop forte le poids de la production qui veut à tout pris écoulé ces stocks, c’est indispensable…,.
L’objectif doit être atteint, quoiqu’il en coûte !

Malheureux ….
Rien ne coûte rien ici a bas…
Il n’y a que des intérêts communs.

Magnifique.. Nous avons inventé la communauté.
Nous sommes donc capable de nous inventer une civilisation.
En tant qu’être sociaux nous sommes doué de raison , nous distinguons le bien du mal, alors , nous allons produire du confort pour que nous ayons une vue digne et douce.
Et ce modèle devrait être exporté partout..
C’est là, qu’apparaît le marché….
Ce marché n’a pas de taille précise, il est tantôt grand , tantôt petit, mais il permet l’échange des richesses qui séduit la planète entière….
Vous noterez le passage d’échelle… pardonnez moi !
Ces richesses sont échangés en contrepartie de les produire. Des lors l’organisation humaine est dans un écosystème qu’il maitrise et qui fait sont bonheur. Et il en.disposera comme bon lui semble.
C’est une situation idéale..
Et les moyens d’y arriver sont multiples et à divers conséquences…..
Nous avons choisis des chemins., . Qui continue d’ailleurs à être relativement stables ., jusqu’à ce que …
,

Nous soyons arrivés à nous détacher à un tel point des objectifs initiaux que nous ne nous sommes même pas posé la question si cela était bon pour nous… La.machine est en route et elle ne peut plus être arrêtée. Nous avons créer le monstre de frankeinstein.
À défaut d’être totalement vivant, il adicte déjà ces propres lois. C’est pourtant c’est un univers qui n’existe que notre esprit, …….
Il suffit de débrancher la prise.
Un temps.
Un moment de réflexion.
Courts peut-être
Une semaine tout au plus.
Un moment de pause
Ça me fait au reset de Mme Lagarde.
Ok, mais vers quelle direction…
Tous les peuples sont d’accord sur une remise à zéro.
La manière d’opérer dépendra du chirurgien.
Bien que en ce moment. Les chirs n’ont pas la valeur de ce qu’ ils méritent…
Le monde est cruel, il est notre berceau mais il est aussi notre pire souffrance, particulièrement celle qui annonce la fin.

Impatients

Le monde dans lequel nous vivons est au dessus de nos moyens, à moins que ce ne soient nos espoirs qui sont bien trop prétentieux pour ce monde qui paraît déjà étriqué à certains qui voudraient s’en extraire.

C’est bien pour cette raison que nous voulons déjà coloniser d’autres mondes. Je ne dit pas qu’il ne faut pas se mettre à l’épreuve, l’humanité aura besoin de savoir quitter son berceau si elle veut être en mesure de survivre quand bien même de nombreux scénarios s’alignent plutôt vers des destins funestes pour notre espèce.
Nous avons les moyens de continuer l’aventure pour un temps encore très long à l’échelle de notre histoire, nous sommes tous engagés dans ce monde en ce moment.

Éducation

Les modèles d’éducation proposés sont-ils nécessairement soumis à une hiérarchiarion et une corrélation avec les futurs salaire des citoyens.
Hiérarchie et salaire voilà une bonne question à se poser…

Déplacement temporel de 40 ans

– Allo !
– mmm, Moui, Allo ?
– Marty, marty .. tout va bien ?
– heum Doc ? Doc !
– Marty, tu ne t’étais pas endormi au moins
– Heu nan! nan nan, qu’est ce que vous allez imaginer …
– Bon ! Marty, nous devons retourner vers le futur, 40 ans en avant pour être exact, te rends-tu compte de l’extraordinaire prouesse que nous allons accomplir, nous n’avons jamais été aussi loin, en une seule fois.
– Ha ouais c’est chouette, mais, heum, c’est juste un saut de puce à l’échelle de l’univers, non ?
– Hey dis-donc, je te prierai de ne pas faire mes répliques à ma place, s’il te plaît
– Ha ! pardon, c’est vous le doc, Doc!
– Néanmoins c’est une très bonne remarque, par contre je ne sais pas si tu mesures l’ampleur des implications d’un tel déplacement temporel
– J’avoue que, je ne sais pas toujours où vous voulez en venir …

– Mais enfin Marty, tu n’as toujours pas appris à raisonner en quatre dimensions ?
– Heu… non, ca reste un peu difficile, c’est vrai !
– Si nous suivons passivement la courbe du temps infléchit depuis le point où nous nous trouvons, nous pourrions nous retrouver confronter à une conflictualité conjecturelle d’entropie maximale.
Ce qui, entre nous, est le scénario le plus pessimiste, je te l’accorde.
– Ha … ouais, Doc… C’est pas le pied !
– Je n’te l’ fait pas dire
D’un point de vue strictement subjectif, cela fait déjà 40 ans que je tente de résoudre cette énigme !
Mon Dieu, tout ce temps déjà … …
As-tu vérifier le reservoir, Marty, il ne faudrait pas que nous tombions en panne sèche, comme la dernière fois ?
– Ha ouais, le réservoir, c’est bon … opérationnel, enfin, pour l’essence au moins ! J’ai jamais bien compris ce que vous metiez dans le …
– Pour le convecteur temporel, ne t’en fait pour çà, j’y ai apporté quelques évolutions moi-même…
– Doc, il nous reste combien de temps avant qu’on parte ?
– Et bien, selon mes dernières estimations il est possible qu’une semaine soient tout ce qu’il nous reste.
– 1 semaine.. super, c’est génial, ça me laissera le temps de voir un peu comment on vivait en l’an 2019
– Marty !! Tu n’y penses pas voyons, imagines-tu les répercutions que cela peut avoir !?
– Ha ben non, pas vraiment en fait …
– Le temps ne nous appartient pas ici, nous ne sommes, que de simples voyageurs éphémère dans cette substance.
Même si le temps n’a finalement pas grand chose à voir avec notre affaire.
– Ouais enfin un peu quand même non ?
– Mais non, c’est une simple question d’énergie … et c’est pour cela que nous devons réussir, il est nécessaire de réunir toutes ces personnes !
Nous fixerons donc la rencontre sur le 22 novembre à partir de 18h30,
autour du Bistrot Bio,
métro Goncourt,
n’oublies pas la caméra pour immortaliser cet évenement, je compte sur toi !
– J’ viendrai en skate Doc, on sais jamais sur le retour, çà peut s’couer un peu !
– Oui, il ne faudrait pas provoquer un désordre de causalité ou une boucle temporelle !
– Hey ! Vous voulez dire, un des ces machins qui peut detruire tout l’univers, et où on finit par ne plus exister ?
– Pré-ci-sément, mais ne t’inquiète pas, ça commence toujours par la tête … ou les cheveux, surtout le lendemain !
Bon, Ne soit pas en retard
– Ok Dac Doc, A bientôt Doc

Individu(s)

Est-il envisageable que notre espèce qui possède déjà une forme de conscience individualisé nous fasse prochainement une poussé de croissance de conscience ?

Quand certaines espèces se contentent d’une «conscience» pour un groupe important d’individus voir pour toute une espèce, tandis que nous, nous sommes recroquevillés sur nous mêmes… Ne devrions-nous pas être toujours en recherche du contacts des autres ?
La plupart du temps nous voulons échapper à l’autre, certes pour quelques bonnes raisons… son emprise ? Sa domination ? Ses questions gênantes…

Voyons, par une nouvelle approche
Dans un monde où nous produisons en masse des individus qui souhaite tous être différents la nature offre continuellement de nouvelles opportunités d’évolution… Cela semble donc tout à fait normal de désiré être unique, et l’ego est flatté et justifié. C’est probablement oublier que la nature permet de différencier par les populations et que les individus à la marge sont bien souvent rejetés, mais le mécanisme en cours chez les humains semble reproduire une essentialisation de l’individu.

Plus nous sommes complexes, plus nous sommes déjà un assemblage d’éléments individuels. L’apparition de la conscience nous permet de nous extraire de notre boîte crânienne et nous fourni de nouveaux espaces à conquérir.

Le groupe, amplifié par un emprisonnement sensitif des individus fait naître, une dimension de niveau supérieure qui se reconnaît des mécanismes que nous notons sur de plus petits ensembles, il est permi de penser que peut donc apparaître concrètement une conscience collective qui explorera de nouveaux territoires de consciences qu’un individu seul ne peut pas appréhender.

Reposons certaines typologies
L’ordre c’est la paix
La règle c’est aussi la fin d’une multitudes de choses qui s’y rapportent.
La vie c’est un subtile mélange entre ordre et désordre
Cultiver une direction entre ordre et chaos, voilà le secret pour l’apparition de la vie. La voie du milieu.
C’est tout ce qui est nécessaire aux voyageurs du temps que sont les êtres vivants. Le siècle des lumières nous a légué une vision mécaniste de l’univers. Bien mais pour un groupe d’individus, comment peuvent-ils faire corps afin de produire de la vie et ensuite une conscience qui permettrait de se libérer des prisons individuelles afin de produire un état de conscience émanant du groupe et d’y faire reconnaître si ce n’est la conscience, du moins le libre arbitre.

De «nouvelles» approchent mathématiques orientent les sciences biologiques et psychologiques. Bien que nous ne soyons pas encore en possession des clés nous sommes devant la porte qui y mène et nous approchons de cette identification.

C’est à cette condition que et en justifiant des systèmes faisant apparaître la conscience que nous nous réconcilierons entre nous autres humains. Et il est probable que nous découvrirons également de cette manière une façon de vivre en harmonie avec notre environnement.

Optimisation

Pour établir la qualification d’un processus il est nécessaire d’en définir au préalable le périmètre ainsi que les exigences déterminant son bon fonctionnement.

C’est un ouvrage parfois long qui implique de prendre du recul par rapport aux actions engendrées par le dit processus.

Je ne vais pas ici énumérer toutes les caractéristiques d’une multitude de processus qui nous impacte au quotidien, non plus ceux qui sont plus éphémères et d’autant moins ceux qui sont à venir. La tâche serait impossible, bien qu’il existe des modèles qui ont fait plus ou moins leurs preuves et qui pourraient être cités. On les voit apparaître dans la variété de méthodologies opérantes dans nos structures d’entreprises ou structures sociétales de tous ordres.

Il y aurait pourtant bien un point commun entre tous ces processus et leur définition… qu’il me paraît nécessaire de mentionner.

Nous pouvons bien sûr établir qu’ils s’inscrivent tous dans le temps et qu’ils objectivent un support de structuration d’une activité, mais ce n’est pas le point que je veux aborder.

Tous ont un début et une fin… quoique certains voudraient qu’ils demeurent à jamais un état de fait, une continuité intrinsèque du réel…

D’abord il y a une fin car bien souvent les processus sont cycliques et qu’à une fin de cycle correspond un début amené, que les dispositions en fin de cycle prépare souvent le démarrage du cycle suivant. Certains processus prévoient la terminaison allant vers la destruction du processus dans des conditions optimales (selon des critères parfois discutable)

Bref tout ces appareils méthodologiques fournissent un haut niveau de rendement, du moins c’est leur objectif et de plus en plus sont désormais dotés d’un mécanisme évolutif afin d’améliorer encore les rendement ou de résister aux failles… Mais très peu propose de pratiquer une respiration.

Je m’explique…

Les processus démarrés sont fait pour être continues, ils ont en héritage l’ADN capitaliste qui font de ces processus les maîtres des horloges, toujours plus rentables et efficaces, ils n’ont pas pour vocation à s’arrêter.

Malheureusement si la mécanique s’enraille il est bien souvent difficile de l’arrêter et les pertes sont parfois gigantesques, souvent on laisse même le processus pourrir après avoir pourtant vérifier son inefficacité, et entraîner les différents dommages collatéraux se poursuivants jusqu’au rejet total. Un peu à la manière de gangrènes ou cancers…

La suite ?

Vote Blanc

Je viens de comprendre un truc….

Les personnes qui débattent autour d’un sujet se disputent des visions de notre réalité et du sens qu’on lui donne.

Le problème c’est qu’il n’y aura jamais de consensus total, dans le meilleur des cas il y aura un consensus majoritaire, mais quand bien même il serait admis à 51% il resterait les 49% qui serait mis de côté et auxquels le modèle choisie ne pourra pas être favorable.

Sans compter que les changements de direction tous les 5 ans n’est pas souhaitable pour la bonne tenu des opérations au niveau d’un pays. C’est probablement pour cela que nos institutions se sont munis d’une multitudes de mécanismes intermédiaires afin de maintenir une respiration face au changement.

Cependant, ce n’est pas un système contributif, seul les personnes habilités sont autorisés à pratiquer cette respiration, à en dessiner les contours et les marges. Du fait de l’histoire des humains nous avons toujours plus cloisonnées les initiatives de peur d’y voir certains phénomènes se reproduire…

Mais c’est justement en ne donnant pas la parole à la multitude, que ces multitudes finissent par se concentrer et fabriquer leur propre force.

Entreprendre de façon arbitraire et homogène sur tout un territoire la construction d’un modèle ne permet pas de laisser s’exprimer des modèles clivants.

Or le vivant nous apprends que nous devons être capable de produire de la différence si nous souhaitons que des principes fondateurs survivent aux intempéries et aux épreuves du temps.

Mais donc pour reconnaître les expressions clivantes quoi de mieux que de laisser s’exprimer pleinement les avis sur les seules offres politiques qui sont proposés, et de renvoyer à l’étude les propositions de ceux qui prétendent représenter les votants.

La reconnaissance du vote blanc est cet outil, et ceux qui le refuse ne prétendent plus représenter les votants mais bien au contraire, les diriger…

Avis aux amateurs