philosophie +?

Survivre c’est accumuler…

Donner c’est mourrir un peu

Donner c’est aussi réaliser ses rêves.

Alors qu’attends-tu pour vivre ?

Ta foi est ta foi

C’est parce qu’elle est ta foi, qu’elle est ta foi…?

Souviens toi de ces mots… tu te retrouveras.

Viser plus loin que l’objectif…

Afin d’obtenir au moins l’objectif.

Prenant le temps d’y réfléchir, j’ai pût, comme beaucoup, éventuellement me convaincre que c’est une bonne méthode. Les gains sont en effet au rendez-vous. C’est une technique de négociation parmi d’autres qui a le mérite de dissimuler l’objectif surtout s’il est camouflé derrière de nombreux autres. Bien que parfois la technique inverse puisse être employée, épouvantail et l’arbre qui dissimule la forêt.

En sport le sens que l’on peut donner est tout autre, c’est le dépassement de soi. Comme si l’on pouvait réellement le faire. Ce serait donc posé un objectif qu’il est nécessaire de dépasser, c’est donc directement l’inverse de la phrase proposée en titre. Et pourtant, l’effort d’un jour deviendra le commun d’un lendemain.

Les impressions que nous avons de fatigue ne sont que les limites de perception que notre corps nous impose à la définition d’un réel, et donc pour changer ce réel il faut se dépasser. Et bien que le corps soit capable de se re-agencer il a une capacité tout de même fini de modification, (certains y verront l’introduction au trans-humanisme, qu’importe) si nous respectons ce que nous sommes nous atteindrons un seuil où l’objectif posé ne peut plus être dépasser, sauf à trouver des moyens de fixer de nouveaux apports nutritifs et/ou de nouveaux moyens d’agencer les éléments qui permettront alors de répondre à l’objectif fixé voir de le dépasser encore. mais même avec le transhumanisme, s’il devait être mis en pratique il y aura également un seuil qu’il ne sera plus possible de dépasser. Il est donc nécessaire de figurer une courbe de croissance de nos objectif à la baisse.

Oui, mais encore faut-il se souvenir que le discours tenu est d’identifier des objectifs plus lointain afin de garantir que l’objectif dissimuler ou réellement fixé soit atteint. Ce qui n’est plus tout à fait sportif soit dit en passant.

Bien, mais donc s’il on considère que l’objectif, qu’il soit dissimuler ou non, reste à dépasser, nous vivons alors dans une régulière frustration émaillée par de rare moment de réussite. Ce qui dans un contexte d’individus, d’une famille, d’une affaire, d’une société, des institutions ou une civilisation conduit irrémédiablement à la frustration, dans laquelle seuls quelques éléments seraient glorifiés par leur réussite (typique de la méritocratie), qui sera très souvent dû non pas au travail d’une seule personne mais plutôt d’un groupe, nous avons pourtant tendance à mettre en avant la personne qui était la plus visible, celle sur qui les lauriers (ou les tomates en cas d’échec) retombent inévitablement parce cela aura été l’élément le plus visible. Quant ce n’est pas en faisant peser sur les autres les échecs sans en assumer la marque… des lors le groupe lui-même génère sa propre frustration.

Or donc, si l’objectif est dissimuler et qu’on ne le dépassait pas, cela serait frustrant, mais même si celui-ci était dépasser, cela ne signifie pas pour autant que l’objectif officiel le soit, et cela est également frustrant.

La méthode de gestion devient apprendre à gérer la frustration.

Cela ressemble fort à l’univers humain que l’on connait…

Est-ce donc la notion d’objectif qui ne conviendrait pas ?

L’on peut opiner au contraire qu’une civilisation a besoin d’objectif pour se déterminer et construire un commun. Pour que ceux qui se retrouvent dans l’objectif monopolisent leurs énergies et leur savoir-faire au service de l’objectif. Appeler cela objectif, projet, but… ca ne change pas grand-chose.

Oui mais comme nous venons de le mentionner précédemment cela s’accompagne très souvent de frustration.

Est-ce pour autant un échec…? Notre espèce est-elle vouée à se déplacer dans le temps avec cet unique comportement qui lui colle à la peau sans pouvoir jamais s’en séparer… Ce serait contraire à l’esprit sportif

En vérité il y a au moins un autre moyen de faire de l’homogénéité directionnelle sociétal, civilisationnelle… Il faut faire alors appel aux valeurs.

Parce que même si nous n’en donnons pas forcément tous la stricte même définition nous savons ce qu’elles représentent, les symboles qui s’y attachent et la multiplicité des définitions fait que la valeur se renforce parce qu’elle s’élargie, sans mauvais jeu de mots.

Chacun à notre mesure nous estimons les étapes, distances parcourues dans nos vies auprès de certaines valeurs et plus éloigné d’autres, ce peut-être comme des balises d’étapes franchies. Et le fait de se retourner sur le trajet, afin de le constater, révéler les épreuves, les changements de directions, les raccourcis et les méandres. Tout cela est gratifiant et permet de se libérer de la frustration.

C’est une fois qu’une étape est franchie qu’il faudrait alors la considérer, et se dire : «voilà où je souhaitais en arriver»

J’ai terminé d’écrire cet article, l’étape est franchie

New operators

L’informatique est truffée de fonctions déléguées à une tâche bien particulières.

On a évidemment les opérateurs mathématiques standards : + – * / % root(racine)

Les opérateurs logiques = != < > & |

Quand aux opérateurs sur les chaînes de caractères, ils en existent une multitudes, mais les plus performants bien que difficiles d’appréhension au départ sont les expressions régulières

Dans le cadre des objets on a : create, update, delete. (CRUD)

En découlent éventuellement les fonctions publiques set, get, compare… qui peuvent parfois être reliés aux opérateurs logiques

Il pourrait y en avoir un à ajouter, qui aurait son rôle à jouer dans un cadre plus large

Les réseaux de neurones qui émergent un peu partout devrons trouver leur équivalence «expressions régulières» afin d’aider à ce que la maturité de ce sujet s’accompagne d’une forme de cadrage.

Je propose : bet ou guess

Un peuple européen

Forcer les gens à se rassembler

Est-ce parce que c’est envisageable qu’il faut le faire ?

Le peuple Français, dit-on est de cette nature. Ce n’est donc pas le consentement qui a produit ce peuple, initialement du moins.

Des événements on tout de même soutenue sa formation. Et c’est probablement contre ceux, même qui avait formulé l’hypothèse du peuple français que la colère s’est exprimée. On peut y voir un sacrifice important, un don de soi, dans la cause noble du rassemblement, ou bien ne serait-ce qu’un mauvais calcul dans la gestion de masse populaire.

Quoiqu’il en soit, aujourd’hui des défis de même nature sont à venir, concernant la constitution d’un peuple encore plus massif… européen

D’autres institutions visant à produire un peuple aussi massif et même plus massif l’on fait avant nous et ceci n’a pas vraiment été fait sur le consentement mais accompagné de son lot de frustrations, de violences physiques mais aussi de violences institutionnelles froides. Nous avons plusieurs modèles de comparaison à notre disposition. Inde, Chine, Amérique… Aucun n’est parfait et il ne saurait en être autrement, le jeu d’équilibrage entre les différentes facettes de chaque peuples résident dans la maîtrise de toutes ces facettes, via différents moyens. Cela passe tantôt par les répressions, asservissements (volontairement acquis ou non) les privilèges, les compromis, la division, ou encore la désignation de l’ennemi commun …etc…

Certains pourraient tirer une certaine gloriole à avoir rassemblé, contre eux-même, en une seule cause, les humains de plusieurs territoires. C’est le sacrifice que j’ai cité au début… bien souvent pourtant il ne s’agit pas de gestes honorifiques mais bien d’un rapport de forces qui vise à trier la couverture toujours un peu plus vers sois et qui pourra etre déguisé et décrit plus tard comme une manoeuvre charitable.

En Europe pas d’ennemis commun bien que les réfugiés climatiques pourraient en faire l’office, mais ils ne sont pas encore assez nombreux. Alors on pourrait se rabattre sur les veilles querelles entretenus par le fond des manuels d’histoires hâtivement rédigés après les victoires et qui n’ont pas encore été assez remis en question.

Au nom de la loi

La loi c’est quoi ?

C’est l’ensemble des règles du jeu qui régulent les activités humaines.

C’est le pouvoir législatif qui lui donne corps…

La loi, c’est aussi ce qui permet de légitimer l’usage d’un pouvoir exécutif à tendance répressive si les choix préjudiciables des individus les mettaient hors-la-loi. Mouais…

La loi est censée être l’expression des revendications communes auquel chaque citoyen se referera par consentement pour donner du sens aux rapports à entretenir avec les autres… c’est pour cela qu’on dit que nul n’est censé ignorer la loi. Cela traduit théoriquement un outillage de la paix et du maintient d’un ordre social.

Mais…

La loi appartient-elle encore aux humains ?

En premier lieu, la question se pose dans le sens de la représentativité et de la légitimité permettant à une minorité de décider pour les autres. Cette minorité n’étant pas exempts de conflit d’intérêts… Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg…

Il y a en second lieu «l’ombre du marché…» même si ce n’est pas spécifiquement bien défini on y entends la juxtaposition des volontés humaines à imposer par tous les moyens des produits ou pratiques qui doivent fournir une avancée technologique, sociale et culturel… Ou pas… du moment que cela se vend, et de ce point de vue si un produit se vends bien il est impératif de mettre en place les règles qui permettent sa diffusion la plus large… au point de vouloir tordre les règles y mettant un frein, fussent-elles justement positionnées pour réguler un point pourtant déjà observé dans l’histoire des humains.

Et en dernier lieu, la science et la sacro-sainte logique… qui arpente tous les domaines des sociétés, même des civilisations. C’est la nouvelle religion qui a réduit toutes les autres au rang de sectes apeurées… La science décrypte tout, elle «dicte» partout où elle passe son pragmatisme, son «bon sens»

Sa logique fonde et explicite rationnellement les codes et usages et se positionne même sur la philosophie et la morale.

Pourtant, on la voit cette science être malmenée, orientée, récupérée par des intérêts qui plus la bourse est pleine, plus les résultats sont en adéquation avec le postulat de départ.

Où sont les Galilées, ceux qui s’opposent… Il y en a mais ils ne sont plus audibles cachés par la masse d’informations stupides.

Enfin la loi, à tout d’abord été créé pour orienter et résoudre des conflits, mais désormais, elle est plus utile à ceux qui la font qu’à ceux qui ne la pratique que lorsqu’elle leur aurait été nécessaire…

La loi ne protège pas, elle est un outil de gestion de masse.

Journal

La nouvelle année. On y est, comme on dit chaque année…

Je ne suis pas tout à fait sûr de me souvenir exactement qui j’étais l’année dernière… Cela s’explique assez bien parce que nous changeons à chaque instant, et également parce que je n’ai laissé que très peu de traces. Quelques événements dans l’agenda. Des fichiers sur des dizaines de disk-dur, sans parler des activités cloud, comme ce site entre-autre.

Si je devais retracer le fil… bon sang, pas le temps. J’ai déjà cette nouvelle année que je dois mener.

Les bonnes décisions :

Choisir une organisation de travail

Choisir une organisation à la maison

Surveiller ma santé

Trouver qui je suis

Tenir mes engagements

C’est basic, fondamental…

A l’année prochaine

Relativité

Tous les travaux d’études de notre univers dans l’infiniment grand, mais aussi dans l’infiniment petit, ont été chamboulés par le concept avancé par A. Einstein.

Changement d’état quantique…

Changement d’échelle temporelles…

… précisions…

Comme on peut le voir dans les deux cas, le fait d’observer un système influence directement la définition de ce qui est observé.

Alors, qu’est ce que c’est qu’observer ? ?

As-t-on une/plusieurs définitions de cette activité, mais aussi qu’elles peuvent être les définitions qui permettraient d’apporter les expériences qui permettrait vérifier l’influence qui se produit au niveau quantique et au niveau du temps par la gravité.

Certains disent que l’univers tout entier n’existe que parce qu’il est observé… C’est à entendre avec plusieurs nuances

Peut être y a-t-il un fond de vérité, mais qu’il faudrait le comprendre autrement…

Tour d’abord ce n’est pas parce qu’une expérience à montrer que les électrons se comporte comme une onde lorsqu’on tente de mesurer leur trajectoires que cela est valable pour tout ni à tout les niveaux. Il faudrait cesser l’extrémisme scientifique, qui a trop tendance à s’exprimer par la recherche du grand tout.

… précisions…

Si nous parvenons à fournir une définition de l’observation et que cela résoud les influences qu’elle produit sur le quantique et permet de comprendre son altération par la gravité, nous aurions alors un nouvel outil pour proposer des liens entre les niveaux quantiques et les niveaux macro-universel.

NewDevBehavior

Une spécificité de la force élémentaire électromagnétique induit des comportement que nous avons sût mesurer et utiliser.

Ces comportements permettent l’apparition du principe de Diode (qui ne laisse passer le courant que dans un seul sens), puis si l’on ajoute une seconde entrée à la diode cela devient un transistor… je simplifie volontairement. Un assemblage de transistors permet l’émergence des portes logiques et enfin l’assemblage de portes logiques permet l’émergence de fonctions primitives.

Ces fonctions peuvent être divisées en 3 catégories :

  • les adresses
  • les données
  • les opérations

Ces seuls outils sont nécessaires au fonctionnement de l’écosystème informatique complet existant aujourd’hui, car tous les autres concepts héritent de ces primitives. Une suite structurée de ces éléments peut être identifié comme une brique contributive. Ces briques pourront être à leurs tour utilisées par d’autres briques, cela s’appelle l’encapsulation. Ceci permet de considérer certaines briques comme élémentaires à tout moment pour aider à simplifier la modélisation d’un outil plutôt que de repartir à chaque fois de la base sémantique physique primaire.

C’est le principal intérêt de la technologique informatique, en effet si l’on devait reproduire chaque mécanique physique avant de pouvoir opérer le moindre calcul arithmétique même de bas niveau, le chemin serait long.
Aujourd’hui nous sommes donc capable de décrire des mécaniques utilisables rapidement et les briques élémentaires ne sont mises à contribution que lorsque le processus est alors déclenché.

En revanche on observera que l’intérêt pour les briques élémentaires diminue considérablement du fait qu’elle soient tenues pour acquises et qu’a moins d’un profond bouleversement des structures de logiques elles n’ont pas besoin d’être retravaillées, dès lors que leur utilitée est fonctionnellement reconnue.

Cependant se serait sans voir la fondation sur laquelle reposent ces primitives, si je m’autorise un parallèle à formuler en philosophie, je mentionnerai probablement le fonctionnalisme, qui dit entre autre … «peut importe le support sur lequel repose la fonction»

Mais du coup le support choisi qui est à l’œuvre dans les micro-processeurs ne sont que partiellement partagé, nous entendons peu de communauté qui en parle, même si certains on put lire des articles et regarder des vidéos très biens faites sur le net, et je remercie ceux qui ont fait ces efforts. Mais seules les briques élémentaires sont connues. Elles sont, d’une certaine manière, notre bien commun issue de logiques humaines et il serait important voir impératif des les protéger en tant que telles.

Mais voila, passée cette barrière de l’élémentaire, le spectre s’agrandit considérablement, la base de compréhension ne se discute que dans de rares bureaux d’experts.

Par ailleurs, peut-être est-il impensable que nos esprits soient en mesure de maîtriser intégralement les processus depuis les primitives jusqu’aux plus belles réalisations d’algorithme, réalisme des images de synthèses, apprentissage de réseaux de neurones.

J’imagine que n’est pas par hasard si nous organisons l’information sous forme d’encapsulation, car c’est peut-être un des mécanismes à l’œuvre dans nos cerveaux.

Or ces mécanismes et toute l’intelligence qu’ils hébergent ne sont relatées pour l’instant que sous forme écrite et/ou partiellement sous forme UML (Aïe, çà y est j’ai dit un gros mot)

Tout cela pourrait paraître complexe ou rébarbatif, mais surtout sans intérêt car il s’agit seulement de documenter les concepts physiquement implémenté dans les programmes.

Prises séparéments, chacune des notions sont abordable par tous, il suffit de se pencher sur ces pratiques pour comprendre pourquoi elles ont émergée et comment elles rendent service au quotidien. Même si nous ne devenons pas tous des développeurs ou des électros, nous devrions partager ce qui semble si naturel alors qu’une part gigantesque de nos congénères passe à côté.

Évidemment, nous n’avons pas besoin de savoir comment nous fonctionnons pour fonctionner et pourtant d’une certaine manière c’est un gage de liberté qui se cache derrière des rapports de force futurs.

La genèse de ces principes est absolument vérifiable dans le cas des programmes informatiques on peut relativement bien admettre que ces techniques existent belles et bien, vu l’usage que l’on en fait et qu’il y aurait éventuellement un intérêt à les étudier comme une matière générale.

Je revient donc à mon sujet pour poser la question :

Cela prendrait-il vraiment beaucoup de temps de recomposer la « matrice » informatique primitive (somme de processus physique) qui fournirait par exemple le premier niveau d’instanciation d’une chaîne de caractères.

Prenons le problème à l’envers dans un premier temps, nous pouvons pratiquer l’inverse d’une modélisation puisque ces notions existent déjà et qu’il nous suffit de décrire le comment.

Proposons la construction suivante communément utilisés lors d’exemples simples :

{var1: »hello world »}

On dit que la variable var1 a pour valeur « hello world »
Une variable, c’est un bloc de mémoire. Un bloc de mémoire nécessite une adresse, une adresse c’est un nombre, c’est une position dans la mémoire, on utilisera le point 34869 de notre barrette de mémoire. On peut utiliser comme convention le @ pour désigner que l’on parle d’une adresse
Il faudrait donc dire {var1:{@:34869, « hello world »}}
Sauf que la machine ne comprends que des nombres, aussi, la notation  » signifie qu’il y a un traitement.

La donnée, c’est « hello world », il y a encore un peu de travail avant de savoir concrètement comment c’est modélisé par la machine, mais c’est plutôt simple.
Voyons déjà comment se propage cette donnée :
« hello world » c’est une chaîne de caractère, dans l’histoire de l’informatique il y a eu plusieurs essai, mais pour simplifier admettons qu’aujourd’hui on utilise la table ASCII.
Cette table ASCII associe à chaque caractère un nombre :
104=h, 101=e, 108=l, 111=o, etc…
Cette table existe «quelque-part» dans nos ordinateurs, c’est donc identifié par une adresse et même peut-être qu’on va pouvoir préciser cette adresse pour la table entière, on s’en doute, il y a du monde dans cette table, les caractères minuscules mais aussi les majuscules et aussi les chiffres et un tas d’autres choses qui nous intéressent moins pour cet exemple mais qui sont très utile et efficace dans certains cas, comme les sauts de lignes …
Arrivé à la table ASCII qui a pour adresse (par exemple) 66536, cette table devrait pouvoir nous donner quelques indications sur son identité et la manière de l’interroger, c’est le rôle de l’encodage, il y en a de très nombreux, pour faire simple, c’est la grille de lecture/écriture de symboles pour la machine, ces symboles peuvent représenter absolument tout et n’importe quoi… ASCII=@66536

Bref, nous pourrions noter l’égalité suivante :

ASCII{@104} = {« h »:{type:char}}

Le principe est à appliquer sur chacune des lettres. Il faudra au final obtenir quelque chose que l’on pourrait écrire {var1 :{string :{char :[« h », »e », »l », »l », »o »,…]}}}

Il y a plusieurs points a observer et respecter…
Il est imperatif que les nouvelles creations tentent de reutiliser les briques des niveaux adaptés les plus bas. Ceci dans le but de ne pas empiler des concepts equivalents qui pourraient exister sur des niveaux d’encapsulation differents. Ou du moins que dans le moteur ou dans sa definition puissent y etre reperées ces équivalences.

Reperons par des exemples simples

{tata :{string: »tata »}}
on dit que la variable tata a pour valeur « tata »
mais il faudrait dire que string est {tata :{string :{char :[« t », »a », »t », »a »]}}}
puis on pourrait decendre plus loin en donnant une definition des ´char’
nous pourrions donner la representation suivante
{« t » :{char :{ascii(<index>), index:{decimal :116}}}}
quand aux chiffres ils existent surtout sous une forme binaire
{116 :{01110100}}

Meme à ce stade il y a des raccourcis du a mon manque de connaissances sur la couche électronique, car il fo ensuite passer du coté physique pour finaliser les definitions qui restent « ascii() , decimal et enfin 01110100 la suite de pont de diode qui doit etre mise a contribution pour representer cette valeur binaire.
Par exemple la fonction ascii() doit permettre de rentrer dans les details sur la table ascii elle-meme car il faut bien qu’elle existe quelque-part pour traduire des nombres en lettres.
Et de maniere generale tout ce qui possede un type de donnees est oppsable a un mecanisme permettant de le determiner et de conditionner son traitement.
Cette notation serait donc incomplete :
{116 :{type :integer, value :{type :binary, value :[0,1,1,1,0,1,0,0]}}}
il faudrait definir integer…
Selon les langages il n’a pas completement la même definition, les seuls constantes, sans garantie, c’est qu’il s’agit uniquement de nombres entiers ensuite qu’il est codé en binaire sur 16 bits (voir 8) et que s’il devait être negatif il doit posséder un bit de signe (- ou +)
donc 17 bits en tout
on pourrait donc avoir quelque chose comme ça :

{integer :{value :{binary[16]}, sign :{binary[1]}}}

Meme de cette facon il nous faut alors definir sign… et que dire de value qui semble si naturelle pour que je l’utilise depuis le début sans rapeller le concept d’adressage de la donnée, on pourrait le representer par exemple comme suit :
{value :{@ :{type :binary, value:[0,0,1,0,1,0,1,1,1,0]}}}
on voit bien la recursivite sur value qui n’est pas resolu…
Le mecanisme d’adressage est connu pour etre lier au principe de registres micro-processeurs…
un registre c’est une adresse fixe, il est alors possible de déposer dans une adresse fixe une valeur représentant une adresse vers une valeur qui n’est pas fixe. Et nous obtenons alors une fonction read() qui résoudra pour une adresse donnée … une valeur

On a donc à notre disposition:

a :

read() : {{value :{@ :{type :binary, value:[0,0,1,0,1,0,1,1,1,0]}}}}

{integer :{value :{binary[16]}, sign :{binary[1]}}}

Est-il necessaire de rapeller que l’informatique est entièrement fabriquée sur des concepts qui sont le resultat d’adherences entre plusieurs personnes qui se sont mises d’accord à un instant pour permettre d’empiler d’autres concepts par dessus.

Pour ce que j’en connais, on peut eventuellement transposer ce phenomene sur les mathématiques excepte que pour les math il est constamment necessaire de demontrer ses concepts avant que d’autres veuillent seulement s’interesser à les utiliser. En informatique c’est autre chose… Vous pouvez utiliser tellement de pratiques differentes, disponibles de suite, que vous allez verifier rapidement si cela fonctionne ou non.
Et ce langage ne ferait pas exception, il pourrait même permettre a chacun de constituer une batterie de fonctions primaires de très bas niveaux, créé par des agencements totalement differents d’une personne à une autre. Cela peut etre aussi un piège et rendre difficile et/ou infonctionnels certaines tâches que nous considerons comme acquises aujourd’hui, car elles sont rendues possible par l’empilage des conventions etablies, sous forme de protocole de communication ou dans d’autres contextes appelés driver.
Cependant, avec un tel langage, serait rendu possible la lecture du programme en même temps que l’execution, en même temps que la modification, d’autres langages le font dejà, mais jamais le spectre de l’encapsulation n’aura-t-il été parcourus aussi profondemment. Vous possederiez aussi bien la puissance d’un langage comme l’assembleur ou des premiers compilateurs, en passant par la gestion d’événements, de classes puis les notions de design pattern ou d’agent, jusqu’aux

Ceci pourra être considerer comme un espace de cumul des libertés inaltérables bien que perilleux (dangereux meme en terme de cracking), pourra en fait devenir un formidable terrain d’echange, c’est l’open source poussé jusqu’au niveau physique (theorique certe, mais il est envisageable de mappé ce langage sur des architechtures physique réels)

Bref on voit qu’il y a beaucoup de notions à aborder et de travail d’écriture à realiser.

Algocratie

Le terme peut-être entendu à la fois comme une solution pour remédier aux manquements d’hier et d’aujourd’hui de nos représentants et également pour pallier à l’investissement toujours plus bas des citoyens. (Quoi que…)

La logique en soutient de ce projet trouve ses racines dans la certitude que la science, en générale, est le processus de recherche de la vérité.

Aujourd’hui, nous pourrions être séduit par les résultats intégrés à notre quotidien, des avancées visiblement formidables sur certains aspects de nos vies et qui nous laisse imaginer des trajectoires qui augurent de jours prospères et libres. (Quoi que…)

La science étant une recherche de la vérité, elle se confronte chaque jours à de nouveaux défis, il serait intéressant de discerner la vérité matérielle de la vérité vécue, mais ce n’est pas l’objet ici. Ces défis, sont menés sur des espaces d’explorations inspirés par les volontés / découvertes humaines. La science produit des modèles de lectures du monde et permet d’utiliser des mécanismes mis en lumières au travers de ces modèles pour produire des outils permettant d’aller plus loin dans la recherche, mais aussi lier ces mécanismes à nos existences. On peut aussi y comprendre que ce qui nous animes réponds à ces mécanismes, nous sommes par conséquent compatibles.

Pourtant il serait vain de croire que les modèles scientifiques proposés soient la vérité, ils n’en sont que les contours, et pour ce que j’en sais, ce qui est un outil de recherche ne saurait être exhaustivement un outil de gestion. Nous sommes pourtant déjà prêt à penser le monde et l’avenir au travers de ces prisme de lecture. Les consciences «terraformées» dans ce bain de croyances, ont déjà établi que l’incroyable complexité du monde nous dépassent et que nous devrions nous munir d’une industrie de la raison, qui pense à notre place. On ne peut pas blâmer cet état de sidération devant la difficulté, quant on pense que cela fait des décennies que la responsabilité de se choisir des représentants est, bien des choses mais, c’est surtout choisir à qui remettre le pouvoir de décision à notre place.

Nous avons donc été éduqués pour l’avènement d’un ordre scientifique, constitué d’algorithmes capables d’appréhender la complexité du monde à notre place, l’objectif de ce dispositif n’est pourtant pas très net. Qu’il s’agisse de permettre de résoudre des problèmes plus larges ou nous permettre de nous passer de dirigeants, l’intention reste de ne plus émettre que de vagues décisions à mettre en rapport avec le ressenti de l’instant. C’est à dire plutôt très proche de ce que notre cerveau reptilien fait, laissant les tâches complexes à un algorithmes. Il est très probable que nous puissions même observé dans quelques siècles, une baisse conséquente du niveau d’abstraction et donc de nos capacités à innover.

Les algorithmes sont construits sur la base de variables acquises par des mesures, dans le passé, un modèle est alors entraîné par mis à l’épreuve successive afin de vérifier son taux de réussite. Le meilleur modèle est retenu et branché sur des variables réelles pour assumer le service à rendre. Il est donc indiscutablement lié aux outils de mesures produisant les variables. Les outils de mesures doivent être entretenus à la perfection pour une acquisition optimale, et si nous décidions de modifier l’outil de mesure pour obtenir plus de variables il faudra qu’un autre modèle soit entraîné. C’est activités sont déjà très complexes sans compter que l’entraînement d’un modèle peut prendre du temps et que le choix des variables est discutable mais aussi primordial dans l’obtention d’un résultat optimal.

Mais ce type d’algorithmes ne prends aucune décision, il doivent être supervisés par des règles établissant le lien entre valeurs et actions et ceci peut être fait au travers de programmes relativement simples. Serions-nous entrain de cacher l’arbre derrière la forêt. Il y a de toutes évidences lieu de se poser la question de qui doit avoir accès à ces programmes de supervision, car bien qu’ils soient simples, ils déterminent le comportement final d’une chaîne de décision, mais plus encore concentre un pouvoir incroyablement puissant. Azimov et ces règles de la robotique faisait état de ce principe.

Or donc, cela ne serait-il pas simplement un autre moyen de contrôle et de mise en spectacle afin de cacher à nouveau les réels décideurs.

PS :

Une dernière note au passage, pour les lecteurs les plus courageux.

Quand bien même nous serions amené à produire des algorithmes totalement autonomes, qui donc formaliserait ses propres règles de supervision, produit le risque de ne plus intégrer de nouveaux paramètres issus de réflexion humaines, nous pourrions aboutir à une algocratie qui ne tiendrait plus compte de nos avis ou bien considérer que nous sommes une variable d’ajustement, ou encore même une variable obsolète.