Nous Gilets Jaunes

Dans la tête de nos élus il n’existe aucun moyen d’exprimer la volonté des citoyens autrement qu’au travers des représentants, à nous de leur montrer qu’il existent d’autres alternatives.

La structuration ne signifie pas spécifiquement reproduire un schéma défini par les écoles politiques.

Nous sommes capables d’aborder la structuration par nos propres moyens et non par les règles établies par nos interlocuteurs. Ceci pour anticiper les gestes qu’ils veulent nous voir faire, mais aussi pour respecter l’émergence de ce mouvement citoyen.

La première difficulté se présente dans la définition d’une structure mais aussi dans sa planification.

Celle-ci devrait se faire dans un temps «illimité», mais qui propose une première construction qui soit capable d’émettre des propositions et de présenter un corps représentatif lorsque des négociations seront à venir.

Nous avons un premier exercice devant nous, la négociation de l’arrêt des manifestations et les conditions dans lesquelles elles doivent se faire. Il est impossible de satisfaire la totalité des revendications de suite, mais plutôt que laisser nos interlocuteurs mener l’agenda, faisons de suite l’énumération des 3 propositions qui sont les plus urgentes.

Ces 3 propositions en mains, déterminées démocratiquement par le moyen d’assemblées générales, Nous devrions ensuite les enrichir pour qu’elles s’articulent chacunes avec les 2 autres, il serait probablement nécessaire que ce travail soit filmé / rendu publique afin de recueillir au plus tôt, des commentaires constructifs compétents en la matière mais aussi pour créer un climat de confiance. Toutes les personnes se saisissants des sujets devraient avoir un niveau de connaissances approfondies du sujet traités pour explorer les avantages / inconvénients des manières de produire l’articulation. L’idéal voudrait que ces personnes fonctionnent par équipes et qu’elles fassent part de leur déductions respectives lorsque les 3 mesures sont rapprochées et montées ensembles.

Et enfin confronter entre-nous ces travaux lors de débats simulés. Les meilleurs communiquants / négociateurs seraient choisis pour présenter ces mesures. Ce seraient alors nos représentants, «nommés» par leur aptitude à défendre. Les entretiens avec le pouvoir en place devraient être filmés, sans quoi la confiance serait perdue, et ceci vaut pour les deux côtés.

Ce mouvement devrait également se donner des temps de respiration afin d’accumuler des réactions et de pouvoir se repositionner face à de nouveaux éléments/événements.

La structure doit être résiliente aux coups bas, signifiant qu’elle doit avoir les «reins solide»

La meilleure attitude vu la nature du mouvement devrait être une représentation large et proche pas de représentants sur le long terme. Chacun.e devrait selon son aptitude et ses disponibilités participer aux débats surtout en interne, il devrait s’agir d’être constamment en capacité d’aménager des espaces aux citoyens pour témoigner de leur situations et livrer leurs attentes, voir même les rêves qu’ils expriment.

Jusqu’ici les institutions ont toujours utilisées la mise à disposition de plateformes proposant des services publiques/démocratique et les citoyens s’en saisissent lorsqu’ils en ont besoin. Nous avons tous vécu le filtrage d’éligibilité d’un citoyen à un service qui est souvent tristement accompagné de déceptions, ceci seulement quand on sait que le service existe.

Il serait peut-être temps de revoir l’orientation des services publiques, leurs financements, leurs objectifs et que ceux-ci soit branchés aux citoyens. A la manière des militants qui vont vers la population pour recueillir leurs revendications ou même encore à la manière d’une étude de marché il est quand même déplorable de voir que cette énergie est très fortement implanté dans la culture des entreprises mais que la démocratie en ait dépourvu, excepté au niveau des partis politiques et que ceux-ci ne l’active qu’au moment de campagnes électorales.

Cette structure devrait d’abord passer par le nombre. Mais aussi, par la capacité à répondre rapidement aux sollicitations.

Les enjeux sont trop grands pour être traités par le langage habituel des professionnels de la politiques. C’est pourquoi nous devrions nous réapproprier les mots désignant les concepts, nouveaux ou non, que nous souhaitons voir mettre en place.

Un deuxième exercice pourrait être alors de constituer un dictionnaire des concepts auxquels nous tenons et qui doit nous rassembler, nous ressembler.

En bref participer à l’élaboration de ce qui nous intéresse….

Si je devais écrire une pièce de théâtre

Les décors, seraient empruntés à ces usines salies par l’abandon. Les tuyaux éventrés, des suintement timides dû à la condensation, aucune trace d’une quelconque activité résiduelle d’un autre âge. Pourtant l’architecture, les enchevêtrements d’engrenages, la sophistication des dispositifs semblerait rapporté qu’a une époque des esprits ingénieux eût été à l’oeuvre, témoignant qu’une maîtrise de la matière avancée jouait de concert sur l’instrument de production, que toute cette technicité puissent être remisée ainsi loin de son but, que le potentiel soit abrogé et détourner afin de servir tantôt de bancs, de tables, de chaises, d’étendoir.

Mes personnages seraient simples et pourtant si profonds dans leurs sentiments, qu’autour de leurs phrases de nombreuses polémiques apparaîtraient encore de nombreux siècles plus tard, prenant de nouveaux échos ou parés de costumes actuels, dont les ramifications seraient explorées à grand peine par les penseurs en vue d’exercices philosophiques intenses, poussant la complexité de leurs réflexions aux points ultimes et révélateurs des fondements, aux limites de l’affect, des valeurs et de la conscience.

Sans critiques, sans archétypes le déroulement des événements suggérés arboreraient une simplicité contrastée qui manipuleraient aussi bien les concepts de conversions des volontés en actions humaines, la fabrication des opinions, l’ouvrage et la souffrance pour transgresser la condition finie de nos corps, la sensiblerie et le fruit de nos entrailles fussent-elles scatologiques.

Les appareils institutionnels ou politiques qui jouraient avec les hommes alors même que ceux-ci croiraient encore les déterminer, les maîtriser. L’humain aurait accouché de monstres qui se nourrissent de leur créateur.

Et la valeur, celle qui nous fait nous engouffrer dans la vie, qui nous anime et nous tue, tapie dans l’ombre de nos choix, nous mettant à l’épreuve à chaque atome de temps que nous precevons. L’inévitable choix qui sépare ou regroupe dans un monde en constant évolution.

L’histoire pourrait s’écrire sous la forme d’un discours ou bien d’un dialogue, interactions de plusieurs matières d’esprits qui s’animent qui s’entrechoquent se déchirent ou s’aiment. Mais plus encore une expression des corps sur la scène formerait une expression des désirs et des regrets, des lumières qui envahissent et libèrent face à leurs ténèbres qui compriment et détruisent. La fusion entre le doute et l’absurde, l’inutile savoir.

Cette pièce comme toutes les autres ne répondrait pas aux questions mais les avancerait de manière à ce que chacun se reconnaissent dans une partie de son implémentation, le jeu morbide de l’humour finirait de poser le problème, qu’avons nous entre nos mains qui ne proviennent déjà des autres qu’ils soient nos aïeuls, nos frères ou nos descendants. Que faisons nous des aptitudes que nous avons reçu ainsi que celles que nous travaillons avec acharnement, et comme une croûte de pain qui couvre enfin tout nos abandons. Nos corps nous appartiennent-ils alors même que nous les rendons en fin de règne. Et cette compagne naturelle, que nous apprends-t-elle, cette conscience que nous pouvons, étourdi ou calmer, mais que nous ne pouvons cesser d’écouter, pourquoi elle est apparue, le comment importe mais n’est que l’écume du concept.

La pièce se finirait sur une toute petite bougie, tendre, rassurante, une impression de déjà vu, comme dansantes au milieu des cendres et des fumerolles rougeoyantes. Le vent souffle et l’eteint.

L’autre…

Nous sommes tous concernés par le concept et pourtant nous l’évitons soigneusement. Partout il nous accompagne au quotidien, lorsque nous choisissons un.e partenaire ou même des amis, des collaborateurs. C’est un concept bien présent qui réside dans le fondement même de nos existences, inhérent aux choix que nous sommes capables ou non d’assumer, qui dessinent notre état d’esprit, au long terme ou bien l’espace d’un instant. Sommes-nous capable de nous extraire ou non de notre condition consciente et de nos perceptions. C’est aussi l’exercice qui multipliera ces perceptions, à la manière d’une méditation.

Nous avons tous des expressions de rejets envers l’autre, simplement parce qu’il n’est pas nous. C’est une part importante de notre identité, ceux qui s’imaginent qu’il ne s’agit que de couleur de peau ou de culture formulent une catégorie injuste et à des propriétés trop convenues. Cela ne peut pas résumer la manière d’aborder ce concept. Nombreux sont les témoignages de personnes, spécialement les vieux, qui se disent non racistes et qui déclarent à qui veut bien les écouter qu’il «y en a marre des étrangers»

La conscience de soit est un cadeau, je ne tenterai pas ici de l’expliquer… mais c’est aussi une malédiction car nous sommes alors séparés de l’autre… pour se rassurer, entre autres choses, il a été nécessaire que nous nous regroupions sous forme de communautés qui présentent de ce fait une identité qui ne semble pas tout à fait être complètement la même depuis l’intérieure ni depuis l’extérieur. Les communautés étant alimentées par une multitudes de consciences actives sont du même coup dépositaire d’un artifice de conscience qui reproduit alors, à une échelle différente, les mêmes comportements de séparation inhérents à la solitude de la condition humaine. Nous sommes bien seul dans nos boîtes crânienne, les communautés ne font pas exceptions, pourtant affublées de mouvements de pensées complexes plus ou moins denses par le nombre et plus ou moins hétérogène par l’éducation ou la sélection. On aurait pût imaginer que l’addition des consciences soient plus structurées et réfléchies ; posées et qu’elles prendraient plus de temps aux choix, voyez cela un peu comme un conseil de sages ou des parlements orientés vers… la démocratie ? Qui débattent et formules de nombreuses hypothèses avant de prendre position sur tel ou tel sujet. Or il n’en est rien et particulièrement depuis la révolution numérique qui a considérablement accélérée les processus. Mais alors ce sont les processus qui ne sont pas correctement établit et qui devraient être réformés. Si certaines communautés ce sont antérieurement, ou encore, dotés de dispositifs de ce type, certaines autres ne le sont absolument pas, et ce qui est remarquable c’est que ce sont ces dernières qui profitent d’un élan d’efficacité accrue par le numérique. Sans vouloir trop déborder, nous en arrivons fatalement à la globalisation / mondialisation où des communautés s’affrontent pour le gâteau «terre»/«humains» à se partager, s’arracher.

Quel est le rapport avec le sujet ?

Aucun, en apparence, pourtant la racine est bien la même…

Parce qu’en définitive ce concept, l’autre, n’existe que pour ceux qui le reconnaissent pour autrui ou pour eux-mêmes. Et ce qui s’exprime au niveau des communautés temporelles et géographiques n’est que le reflet de notre propre combat pour la conscience, au niveau individuel. Nous souhaitons exister et toute notre énergie est orientée vers ce principe.

La principale activité qui consiste à faire entrer en conscience de ce sujet est la curiosité, pour faire reculer la peur de l’inconnue et ainsi déterminer si nous pouvons donner notre confiance mais aussi inspirer confiance, cela marche dans les deux sens. Or si nous restons enfermés dans notre façon de penser ou bien dans des communautés qui ferme leurs cercles, ce principe conduit alors à réduire les champs de confiances.

La confiance est probablement le meilleur outil qui existe pour faire disparaître des concepts que l’on juge intolérables. Évidemment il s’agit tout d’abord d’une confiance modérée puis au fil du temps, l’espace créé par la confiance pourra s’étendre à mesure que les interactions seront mutuellement profitables. De nombreuses pratiques humaines, pour ne pas dire toutes naissent de notre capacité à faire confiance.

Pour certain.e.s c’est un mélange de genres trop complexes et qui risquera l’extinction d’identités séculaires/millénaires spécifiquement lorsqu’on parle de communautés. Ce serait omettre ou bien ne pas intégrer le fait que ces mouvements de pensées sont en constante évolution, et que l’évolution au sein d’un seul organisme n’a jamais produit que de magnifiques techniques de survie mais certainement pas l’épanouissement nécessaire au défi de la globalisation/mondialisation. Évidemment s’il s’agit uniquement de survivre, alors c’est probablement un bon moyen.

Je pense avoir fait un grand détour, trop large sûrement, sur le sujet et qui manque de précisions et d’arguments mais il y aurait tellement à exprimer ici, que je ne vois pas d’autres moyen que de laisser la paroles aux commentaires éventuels. En espérant prochainement pratiquer un autre billet sur ce sujet plus tard.

Droit du vivant

Toutes les substances vivantes acquièrent le même droit.
C’est à dire le droit de prétendre à continuer sa vie tel que le lui confère son ADN.
Toute tentative d’altérer ses propriétés sans consentement sera perçue comme une atteinte à l’intégrité de son existence et donc comme un délit et un crime.
Si le consentement ne peut-être déterminé ou interprété, alors il n’est pas autorisé d’effectuer d’altération.
Les rapports de force inhérent aux confrontations de capacités fournit par l’intermédiaire de l’ADN ne sauraient être empêcher ni remis en question.
Quand bien même le consentement serait acquis, il sera utile de respecter au minimum la nature d’un ensemble de fonctions de base illustrant la reproduction, ce qui par voie de conséquence aura pour effet de préserver le mécanisme produisant de la différence. (Les plus faibles seront mangés les premiers, mais les plus faibles se reproduisent-ils ? A l’évidence oui, sinon la sélection naturelle les aurait fait disparaître)

_

La «sphère» du vivant peut paraître dure, violente, brute et très réductrice.

Mais c’est pourtant le terrain de jeu qui à permis l’apparition de la diversité que l’on connaît. Nous la mettons en péril par notre écrasante activité, revendiquant : la cohérence, l’ordre, l’optimisation et finalement…

beaucoup de bêtises.

Quelque chose plutôt que rien

L’exemple le plus parlant doit vraisemblablement se pratiquer sur la notion de distance.
Ceci nous conduit d’ailleurs à établir l’existence de l’atome.
Lorsque nous divison un objet, nous pratiquons une nouvelle mesure de son échelle de plus en plus petite. Or cette mesure mêlée à la notion d’infini, nous conduit à déterminer qu’il y a un seuil où la division n’est plus praticable … pourquoi ?
Parce que l’ascension inverse n’est possible que s’il existe un point de départ, vrai ? Combien de temps fait-il pour gravir une montagne infinie ?
… Ou ce serait comme de descendre un toboggan sans fin, où commence donc ce toboggan ?
Les seuls subterfuges qui pourraient être acceptables seraient :

– Que les échelles soient fermées, autrement dit qu’il existe un seuil haut et/ou seuil bas par lesquels l’échelle de lecture s’inverse… Ou se rejoignent.
– Ou bien encore… notre façon de lire le monde est faussée de base concernant l’appréciation d’échelle… dans ce cas, on peut supposer qu’il n’y a ni début ni fin, et peut-être juste une succession d’états qui produisent des artefacts que nous prenons pour des valeurs qui se suivent, alors qu’en fait il s’agit d’effets secondaires dû à une linguistique de l’univers que nous ne lisons pas encore.

Nombres premiers

Qu’est-ce donc que l’ensemble des nombres premiers et pourquoi avons-nous commencer à en detecter.
qu’elles sont leur proprietes, leur nature …
existent-ils des nombres qui ne peuvent pas etre divisible par 1 ni lui-meme. Cherchons d’autres definitions de tout ce qui peut être un nombre premier afin de cerner de nouvelles proprietes qui ne peut apartenir qu’aux nombres premiers.

Les nombres premier aparaissent vraissemblablement avec la division ou l’expression de nombres par fractionnement, ceci signifie qu’un nombre qui peut etre partagé de manière équilibré ne peut pas être premier… Donc aucun nombre paire ne peut donc etre premier, là on en met un bon paquet de côté…

Il y a comme une barriere psychologique a diviser des nombres premier, passons cet interdit et divisons ces nombres par ceux qui sont « interdit » de cette maniere nous apprendrons peut-etre quelque-chose.

lorsqu’on divise par 7, 5 ou 3
1/2= 0,5
1/3~= 0,333333333333333…
1/4~= 0,25
1/5= 0,2
1/6~= 0,16666666666666…
1/7~= 0,14285714285714…
1/8
1/9
1/10
1/11~= 0,09090909090909…
3/2= 1,5
3/4= 0,75
3/5= 0,6
3/6= 0,5
3/7~= 0,42857142857142…
3/8= 0,375
3/9~= 0,333333333333333
3/10= 0,3
3/11~= 0,27272727272727…
5/2= 2,5
5/3~= 1,66666666666666…
5/4~= 1,25
5/6~= 0,833333333333333
5/7~= 0,714285714285714…
5/8= 0,625
5/9~= 0,555555555555556
5/10= 0,5
5/11~= 0,45454545454545…
7/2= 3,5
7/3~= 2,333333333333333…
7/4= 1,75
7/5= 1,4
7/6~= 1,16666666666666…
7/8= 0,875
7/9~= 0,77777777777777…
7/10= 0,7
7/11~= 0,636363636363636
11/2= 5,5
11/3~= 3,66666666666666…
11/4= 2,75
11/5=2,2
11/6~= 1,833333333333333
11/7~= 1,571428571428571…
11/8= 1,375
11/9~= 1,222222222222222
11/10= 1,1
13/2
13/3
13/4
13/5
13/6
13/7~= 1,857142857142857…
13/5=2,6
17/7~= 2,428571428571429… 17/5=3,4
19/7~= 2,714285714285714… 19/5=3,8
23/7~= 3,285714285714286… 23/5=4,6

existe-t il une propriete des nombres decimaux qui multiplier par un nombre finissent par produire des nombres premier ?
1
3 / 5 / 7 / 11 / 13 / …

Binary extended

{bit: [0|1]}
{word2: bit[2]}
{word4: bit[4]}
{word8: bit[8]} //octet
{word16: bit[16]}
{word32: bit[32]}
{@8: {word8}} //address
{@8.2: word8[2]} // double cpu searching to express @16
{@16: {word16}}
{@16.2: [{word16}]*2}
{@32: {word32}}
{@32.2: [{word32}]*2}
{@64: {word64}}
{@n: {wordn}} // hardware dependent

// types integer
// does the hardware address is intented to be as long as the value ? Nope ! But it has to express some bus logic to reach the data
{int8: {@n, {sign: bit}, value: word8}}
{int16: {@n, {sign: bit}, value: word16}} //long
{int32: {@n, {sign: bit}, value: word32}} //double
{int64: {@n, {sign: bit}, value: word64}} //long_double
//types float
// fundamentals questions about math behaviors
{float8: {int8, pos: bit[4], decimal: word8}} // position can be 4 bit number ? really
// or just
{float8: {int8, decimal: word8}}
// Functions
// what is it

Primitives operations the cpu can do :

// types Char
// must primary define ASCII and func
{binary: [0|1]}
{@: [binary]*bit}
{connect>(@)>[binary]}
{value: connect({@: [binary]}) //data
{type: {integer4: {[value]*4, sign: {bit}}}}
{type: {integer8: {[value]*8, sign}}}
{type: {integer16: {[value]*16, sign}}}
{type: {float4: {integer4: {, decimal: integer4}}}}
{type: {float8: {integer8: {, decimal: integer8}}}}
{type: {float16: {integer16: {, decimal: integer16}}}}

Critiques 1

Le prélèvement à la source… d’accord
Pourquoi pas, puisqu’il s’agit de fournir à nos institutions le pouvoirs de mener à bien les missions que nous lui confions, il lui faut de l’argent, quelqu’en soit le moyen. Nous sommes donc tous actionnaires de l’état.
Mais dans ce cas où sont nos dividendes, fussent-ils en nature, et surtout où en est le dossier sur les déchets nucléaires, le gliphosate, les retraites, le chômage, la santé, l’agriculture, l’éducation, l’eau, l’énergie… La démocratie ?
Mais d’ailleurs, quels sont les missions que nous lui avons confiées…
Est-ce à tout prix de conserver le navire à quelques encablures des «porcs» ou bien est-ce de prendre le large et de naviguer quelque soit la température de l’eau et la force des vents.
Il manque un concept : quand sera-t-il question de nous demander ce que nous voulons.
Ce n’est pas au travers d’un pseudo programme présenté au moment des présidentielles que nous aurons pût définir les missions que nous attendions… c’est l’inverse qui devrait être fait, nous devrions faire des propositions et la meilleure équipe à même de mener cet ensemble de projet devrait l’emporter.
Au lieu de ça, on centralise quasiment en une seule personne, le sens donné à toute une nation.
La nation devrait pouvoir faire raisonner ses harmoniques.
La diversité n’elude pas forcément la capacité de mener un programme. C’est ce qui se pratique depuis la nuit des temps. On ne voit que l’écume de l’histoire si l’on se figure que seuls les régimes monarchiques ont réalisées de grands projets et que c’était le désir d’une poignée qui a monté nos monuments et que l’on ne mesure qu’à grand coup de souffrance populaire la splendeur des bâtisses. Ce serait oublié l’effet systémique des événements. Les humains individuellement ont de tout temps sut reconnaître des qualités entre-eux mais aussi celles qu’ils ne possédaient pas, et que d’autres détiennent. Il y a eut tout de même de nombreux événements tragiques qui se traduisent par des jalousies ou des incompréhensions. Ce qui a pût conduire les humains aux pires bassesses mais plus simplement, à la division.
Pourtant, reconnaître les aptitudes des autres est un trait d’union dont les projets informatiques communautaires libres sont la preuve, inaudible cependant.
On pourra argumenter que cela est possible, précisant que ce qui est informatique est virtuel, mais qui y a t-il de plus virtuel que nos idées ou nos lois. De plus, selon toutes vraisemblances les projets informatiques sont censés répondre à des problématiques réelles… non ? Et qui y a t-Il de plus concret qu’un datacenter, surtout lorsque l’on regarde de près la consommation électrique, et donc la mobilisation de ressources nécessaires à son fonctionnement.
Les écueils que ces projets rencontrent sont bien souvent politiques s’agissant d’informatique ou de projets «terrestres»
Un groupe de compétences hétérogènes inscrit dans un même but, est une recette qui marche. Dès lors, on peut se demander d’où vient le commandement d’une telle structure.
C’est le rapport de force qui joue l’équilibre… et on peut déjà entendre au loin ceux qui vocifèrent leur idéologie du marché libre; le rapport de force serait donc à appliquer partout, sans distinction. Et bien du moment qu’il est stimulant en termes d’énergie humaine, pourquoi pas, mais c’est au groupe d’en décider.
Et aujourd’hui, nous avons le recul pour dire que ce n’est pas applicable au niveau d’une nation, encore moins à l’échelle du monde. Seuls les rapports vivants de petite échelles produisent une concurrence stimulante. Dès lors que les ensembles sont plus larges c’est l’entraide qui apparaît et prime sur le destin. Oui mais alors les meutes d’animaux sont bien en concurrence les unes par rapport aux autres, non !

Certes, il ont cependant désigné un chef par la domination de l’élément qui concentre les critères les plus favorables à la décision de la meute. Souvent le plus fort, mais pas toujours. Les meutes se disputent un territoire de chasse pour la subsistance. Mais il est permis de se poser la question de l’évolution de leur comportement dans le cas où la nourriture serait abondante… ?

En tout état de cause, l’abondance est là pour l’humain et il n’a de cesse de reproduire les schémas ancestraux de domination… pourquoi ?

Parce que certains se sont tellement gavés qu’ils ont désormais peur que cela se voit. Du coup tous les moyens de pressions sont bons pour ne laisser aucune solution de fuite de pouvoir. Où se trouve le pouvoir depuis de nombreuses siècles … ? L’argent, la monnaie, le convertisseur «universel». Un état n’est fort que lorsque les impôts sont forts. On comprends mieux que les pantouflages répétitifs ne peuvent conduire qu’à la baisse des impôts afin de permettre le transfert du pouvoir d’action vers des entités privées. Si ce n’est plus l’état qui engage l’action il est alors dépossédé de sa légitimité, la revendication de la décision public deviendra plus simple dans quelques années, lorsque l’action privées aura pris majoritairement part dans l’investissement. Et même dans ce cas, le faire silencieusement, si l’objectif est présenté de manière à soutenir le bien commun, cela ne pourrait être contesté, facilement du moins.

L’impôt doit donc baisser mais pas au point de mettre les intérêts privés qui en dépendent. Par contre ne laisser aucune alternative possible et remettre aux mains des dominants la gestion de la distribution de cet impôt.

Comment ? Mais c’est pourtant une charge supplémentaire pour les entreprises !

Oui en effet et nous ne tarderont pas, si ce n’est déjà fait, de voir apparaître tout un tas de startup pour prendre en charge ce domaine. Elles seraient ensuite rachetées par de grands groupes du Cac40 ou des GAFAM…

Complotisme me direz-vous, peut-être mais si nous n’explorons pas les pistes de corruption, nous serions bien démunis le jour où cela arrivera et que nous ne pourrions que nous demander si nous pouvons encore pratiquer notre souveraineté.

Si nos impôts ne sont plus gérés par l’état, quand bien c’est toujours lui qui en dispose in-fine, c’était déjà bien compliqué, mais dorénavant défiscaliser, au profit de cause juste, deviendra une épreuve. «On sait combien l’état est attentif au respect des lois en matière de contrôle des concessions» et des mises en oeuvre… Quels sont les impératifs et les critères qui ont été mis en place par nos technocrates défaillants ?

Quelles sont les garanties que nos impôts soient correctement perçus et redistribuer ? Surtout lorsque la gestion en sera déléguée à des intérêts que nous ne maîtriserons pas.

Comment pouvons-nous contester une politique si nous sommes dépossédé, à l’entrée, du fluide qui l’anime ? Quels autres outils sont à notre disposition… «cher» démocratie, tu nous abîmes, le cadenas qui fermait ta boîte, passait par notre consentement, dorénavant, tu sais t’en passer.

Koh-Lantha

Koh-Lanta …

C’est un moment de voyeurisme intense, on se délecte d’observer quelques français envoyés en vacances aux frais d’obscures groupes privés profitant de l’instant et l’espace ainsi créé dans nos cerveaux, comme un market de cellules nerveuses, ( vous en voulez combien, ils sont frais, ils sont pas chèrs mes neurones, … Enfin si en fait ) La production joue une mise en scène de manière tantôt dramatique tantôt débonnaire emmanché d’un suspens haletant, rythmé sur un fond sonore, bruitages et artifices de montage mêlant l’intrusion dans la vie des participants entourée d’une croûte de survivalisme rappelant les bribes de construction de nos sociétés primitives ou les forts, les malins dominent. Survient alors la cohésion mimétique, empathique avec ces quelques bougres qui tantôt se prélassent sur des fonds de décors de cartes postales tantôt subissent les assauts de la capricieuse nature, les met à l’épreuve, les fait plier ou les révèle. Mais tandis qu’ils comprennent peu à peu qui ils sont vraiment, ils doivent savent qu’ils sont pris dans des filets qui sont trop anciens et trop forts pour être brisés.

Se mêle à cela les gargouillis des estomacs serrées et couinant, qui ce cruel besoin de se nourrir nous appartient aussi, à nous autres installés confortablement sur nos canapés, nos consciences abîmées, qui n’entendent plus que cette petite chanson aigrelette qui nous rappelle que nous avons encore de la chance.

Telle les sectes qui nous otent la perception du bien du mal ou du réel, ne subsistent plus que les stratégies essentielles que nous tenons pour notre condition d’humain moderne qui nécessite que nous soyons… des consommateurs.

Services publiques

Quel est le sujet aujourd’hui.
Le sujet c’est ce qui nous permet de nous rendre sur notre lieu de travail ou nos loisirs, lorsque l’on a la chance de pouvoir en profiter. Le service public c’est celui qui soigne nos seniors nos vieux nos enfants et nous-même, celui qui nous protège, des agressions de notre environnement, des intempéries, du feu, mais aussi de la convoitise. C’est celui qui instruits, nos jeunes et les moins jeunes pour se trouver une place digne dans ce monde, mais aussi pour reproduire la liberté de penser et ainsi perpétuer le sens que l’on saura donner à l’existence, à la découverte de ce monde au travers d’une vision, d’un idéal parfois.
Le service public, c’est aussi une part importante de nos salaires par les cotisations, ces charges comme on nous apprend à les nommer.
Je vous pose la question, avez-vous vu les cotisations baisser pendant les années Chirac ou Sarkozy, et ne me dites pas que Hollande était de gauche. Mais pourquoi alors les services sont-ils toujours la cible des coupes budgétaires, oui il y a bien eu des baisses de cotisations, toujours pour les mêmes… ceux qui avaient pourtant très largement les moyens de les payer et qui s’exilent pour s’y soustraire ou qui détournent les écritures jugeant qu’ils n’ont aucune part de retour sur ces cotisations. Évidemment lorsque l’on est une personne morale, une entreprise, il n’y a pas de maladie, pas d’enfants à charge pas d’éducation et pas d’accompagnement vers le cimetière. Mais c’est aussi parce qu’une personne morale ce n’est pas une personne vivante, c’est un outil créé par les humains pour les humains.
Il serait peut-être temps de s’en rappeler.